Se promener dans son quartier, partager des moments avec ceux qu’on aime, manger lentement: ce sont là quelques astuces bien-être à mettre en pratique pour s’offrir du temps à soi et être en meilleure santé pendant l’année. Découvrez tous les bienfaits apportés par les résolutions qui suivent.
1. S’accorder du temps
On parle souvent de l’importance de prendre soin de soi au quotidien, mais on en fait rarement notre priorité. Le faire présente plusieurs avantages, comme réduire le stress et améliorer la concentration et les relations interpersonnelles. On peut consacrer ce moment, d’une durée de 20 à 30 minutes idéalement, à lire, à méditer, à faire des étirements, à marcher, etc.
2. Cultiver ses relations
Cette année, on multiplie les occasions de rencontres sachant qu’une vie sociale active est une des clés pour être en bonne santé. Les personnes épanouies socialement sont moins enclines à la dépression, car elles peuvent compter sur leur réseau pour trouver du soutien dans les moments plus difficiles.
Plusieurs études ont démontré que les risques de maladies chroniques sont réduits chez les gens qui ont des liens sociaux significatifs. Ces derniers profitent d’une meilleure qualité de vie et vivent en général plus vieux.
3. Cuisiner plus souvent
Lorsqu’on cuisine à la maison, on a un meilleur contrôle sur la qualité des ingrédients qu’on utilise et sur la taille des portions que l’on sert à table. On consomme ainsi plus d’aliments frais et moins d’aliments transformés. Pour toutes ces raisons, on se promet, dès janvier, d’essayer de nouvelles recettes, de goûter à de nouvelles saveurs et ainsi d’apporter de la variété à notre menu.
4. Prendre le temps de manger
On a tendance à partir de la maison sans déjeuner le matin, à manger devant son écran et à souper en regardant la télé? Quand on prend le temps de s’asseoir à table sans distraction et de manger plus lentement, on favorise la pleine conscience, ce qui signifie être plus attentif à ce que l’on ingère, aux textures, aux saveurs, etc. De plus, le fait de partager un repas en famille ou avec des collègues contribue à renforcer et à créer des liens.
5. S’hydrater suffisamment
On recommande aux personnes adultes de boire environ 2 litres de liquide par jour et de privilégier l’eau. L’eau naturelle gazéifiée, les thés et les tisanes* sont aussi des choix sains à considérer. Consommer des aliments riches en eau (des légumes et des fruits), s’hydrater après une séance d’exercice et quand il fait chaud fait aussi partie des bonnes pratiques.
*Source: Promotion de la santé – Gardez votre santé à flot en vous hydratant bien. Gouvernement du Canada.
6. Apprendre à mieux gérer son stress
L’impact négatif du stress sur notre bien-être et notre santé mentale est indéniable. Trouble du sommeil, perte d’appétit, anxiété, affaiblissement du système immunitaire, etc. Il est crucial de prendre les moyens qu’il faut pour mieux le gérer. La méditation, la respiration profonde et le yoga font partie des techniques à pratiquer au quotidien pour nous aider à mieux combattre le stress.
7. S’activer plus souvent
On recommande d’être actif au moins 2h30 par semaine pour en retirer des bienfaits sur le plan de la santé*. Et la bonne nouvelle est qu’il est possible de garder la forme sans avoir à fréquenter un centre sportif de manière assidue. L’idéal est de pratiquer une activité qu’on aime et d’établir une routine. On peut commencer par une marche quotidienne dans son quartier, ce qui est une bonne façon de s’aérer l’esprit et de réduire son temps d’écran.
*Source: Conseils pour être actif – Conseils sur l’activité physique pour les adultes (18-64 ans). Agence de la santé publique du Canada
8. Trouver un sommeil réparateur
Pour profiter d’un sommeil réparateur, il faut qu’il soit d’une durée suffisante et de qualité. Chez une personne adulte, la norme est de 7 à 9 heures de sommeil par nuit. Pour se réveiller énergisé avec l’impression d’avoir bien dormi, on recommande notamment d’établir une routine au coucher, de fermer les écrans au moins une heure avant d’aller au lit et d’éviter de manger durant la soirée.
9. Miser sur les produits de santé naturels
Les produits de santé naturels comme les probiotiques, les vitamines et minéraux, ou encore les remèdes homéopathiques aident à soutenir notre système immunitaire et à nous maintenir en bonne santé. Un ou une naturopathe peut nous aider à choisir le produit qui nous convient le mieux, en magasin.
Un système immunitaire fort, des lavages de mains plus fréquents, une manipulation soignée des aliments: ce sont là quelques-unes des clés pour passer un temps des Fêtes en santé et à l’abri des infections courantes à cette période de l’année.
1. Renforcer son système immunitaire
Les occasions de rencontre étant nombreuses durant les Fêtes, renforcer son système immunitaire est la meilleure façon d’aider notre corps à mieux se défendre contre les infections. Cela commence par l’adoption de saines habitudes de vie, comme privilégier une alimentation équilibrée (incluant la prise de suppléments naturels), faire de l’exercice régulièrement et maintenir une bonne hygiène de sommeil.
Quelques aliments riches en vitamines et antioxydants à prioriser:
- les agrumes;
- l’ail;
- les légumes verts;
- les noix et graines;
- le gingembre;
- les aliments lactofermentés (yogourt, kéfir);
- les poissons gras;
- la tomate.
Des célébrations sans pression
Réduire son niveau de stress est essentiel au maintien d’une immunité forte et d’une bonne santé. Se relaxer et prendre du temps pour soi devrait faire partie de la liste des préparatifs. On n’hésite pas à confier certaines tâches à des gens de notre entourage si on sent qu’on en a trop sur les bras.
2. Se laver les mains
Nos mains, qui sont en contact avec de multiples surfaces, agissent comme vecteur de transmission microbienne. Bien les laver fait donc partie des gestes de base pour éviter la contamination. On réduit le risque de propagation des virus et des bactéries en se frottant les mains avec du savon pendant au moins 20 secondes* avant de les rincer à l’eau chaude. On peut aussi utiliser un gel antiseptique. Et dans tous les cas, on évite de se toucher le visage.
*Source: Santé Canada.
À la maison, il est nécessaire de désinfecter plus fréquemment:
- les poignées de porte et d’armoire;
- les interrupteurs;
- les télécommandes et manettes.
3. Aérer pour limiter la transmission des bactéries et virus
Une bonne circulation de l’air s’avère efficace pour réduire les agents pathogènes en suspension. En hiver, on n’hésite pas à ouvrir les fenêtres, ne serait-ce que cinq minutes, pour favoriser le renouvellement de l’air partout dans la maison.
4. Éviter la contamination croisée
En cuisine, le transfert de micro-organismes d’un aliment à un autre ou d’une surface à une autre peut mener à des intoxications alimentaires. On s’assure de séparer les aliments frais ou crus de ceux qui sont cuits ou prêts à manger. On recommande d’utiliser une planche à découper pour la viande et une autre pour les légumes, autrement il faut laver soigneusement celle qu’on a lorsqu’on coupe un autre aliment. On fait de même pour les couteaux et les ustensiles qui sont en contact avec les aliments.
5. Respecter les températures de cuisson
En matière de salubrité, la cuisson adéquate des aliments s’inscrit parmi les bonnes pratiques. À cette étape, le thermomètre est des plus utiles pour vérifier avec précision la température interne des viandes et des volailles qui seront servies. Par exemple, la température interne à atteindre pour une dinde entière est de 82°C (180°F) et celle de la viande hachée (pour les boulettes et tourtières) est de 71°C (160°F).
6. Limiter le temps d’exposition des aliments
Lors d’un buffet, on évite de laisser la nourriture reposer à température ambiante pendant plus de 2 heures* au risque de voir les bactéries proliférer. On s’empresse de réfrigérer ou de congeler les restes dans des contenants hermétiques qu’on range à la vue. En cas de doute sur la salubrité d’un aliment, on le met au compost.
*Source: Guide des bonnes pratiques d’hygiène et de salubrité alimentaires, Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.
À nous l’organisation d’un apéro convivial et sans stress pour rassembler les gens qu’on aime. Voici 10 suggestions de produits prêts à manger ou à cuire, offerts chez Rachelle Béry, faits d’ingrédients de qualité. Ils vous permettront de remplir la table de bouchées savoureuses et variées, sans avoir à cuisiner pendant des heures.
Trouvez tous les produits suggérés ci-dessous dans le Carnet des Fêtes 2024 de Rachelle.
1. Le gravlax de saumon surgelé | RICARDO
On adore servir le gravlax à l’apéro, mais il faut s’y prendre à l’avance pour le préparer. Savoir qu’on peut compter sur des options prêtes à manger qui nous permettent de gagner du temps nous rassure. Une fois le gravlax de la marque RICARDO décongelé, on peut l’assembler en bouchées (dans des coupelles, par exemple) ou l’accompagner de craquelins et d’une sauce à l’aneth.
2. Taquitos | État Végétal
La cuisine mexicaine s’invite à table avec ces taquitos végétariens prêts à cuire. Ces tortillas roulées de l’entreprise État Végétal sont farcies de protéines végétales braisées, de légumes frais et d’épices, puis frites. On se facilite la tâche en cuisine en les servant en bouchées apéritives où elles feront sensation avec une sauce d’accompagnement, comme de la salsa.
3. Samosas aux légumes | Compliments
Le format des samosas en fait une bouchée parfaite pour l’apéro. Ces beignets de la marque Compliments sont farcis d’un mélange de légumes. Vendus en version surgelée, ils sont prêts à servir en 6 minutes seulement. Ils sont entièrement cuits; il n’y a qu’à les réchauffer au micro-ondes et le tour est joué.
4. Nog Festif | Silk
Le lait de poule, avec ou sans alcool, fait partie de nos festivités de fin d’année. Contrairement à la recette traditionnelle, cette boisson à base de plantes de la marque Silk ne contient pas d’œuf. Une option qu’on sert telle quelle ou qu’on prépare en cocktail, et qui fera plaisir aux personnes végétaliennes.
5. Tofu en cubes mariné façon Shish Taouk | Epic Tofu
Les cubes de tofu surgelés d’Epic Tofu sont marinés dans un mélange crémeux de jus de citron, d’ail et d’origan. On opte pour la rapidité en les dorant simplement dans l’huile avant de les piquer d’un cure-dent.
6. Craquelins biologiques | Mary’s
À la base de nombreux amuse-bouches, il y a les craquelins. Cette version végétalienne et certifiée bio de la marque Mary’s est faite de riz brun, de quinoa, de graines de lin et de graines de sésame biologiques. On assemble les craquelins avec des garnitures ou on les sert tels quels comme accompagnement d’une trempette crémeuse artichauts-épinards végane.
7. Olives biologiques | Sardo
Les olives offertes sur un plateau avec d’autres condiments font partie des classiques que les habitués de l’apéritif s’attendent à retrouver. En plus d’être dénoyautées, les olives de la marque Sardo sont biologiques et ont de bonnes chances de disparaître rapidement!
8. Salsa | Compliments biologique
La salsa est toujours pratique pour les rassemblements improvisés ou pour avoir une option de plus à offrir à nos invités. On se procure ce produit de la marque Compliments, fait d’ingrédients biologiques.
9. Croustilles de tortilla biologiques | Que Pasa
L’accompagnement par excellence de la salsa? Les croustilles de tortilla. Celles, biologiques, de la marque Que Pasa sont composées d’ingrédients simples et très peu transformés. Ni trop épaisses ni trop minces, elles sont croquantes à souhait et n’attendent que la trempette!
10. Pâte feuilletée végétale | Carrément tarte
On apprécie la polyvalence de la pâte feuilletée, qui peut servir d’ingrédient de base à toute une variété d’amuse-bouches. Avec la pâte végétale de la marque Carrément tarte, on peut par exemple cuisiner des friands à la saucisse, des miniquiches ou des feuilletés aux légumes ou au fromage, etc. De quoi satisfaire tous les goûts.
Il vous reste un peu de temps pour cuisiner? Voici quelques recettes à essayer:
Les séances quotidiennes ou régulières de 30 minutes de marche au grand air contribuent au maintien d’une bonne santé physique et mentale. Cette activité, qu’on peut pratiquer à tout âge, est accessible à tous et ses bienfaits sont multiples. En voici 8.
1. On améliore notre cardio
Marcher est bon pour le cœur et réduit le risque de maladie cardiaque. Sa pratique régulière améliore la circulation sanguine et favorise une bonne santé cardio-vasculaire et respiratoire.
2. On renforce nos muscles
La marche renforce la musculature des jambes, celle de la ceinture abdominale et du tronc. Le tonus est amélioré, l’équilibre aussi. Intégrer cette activité à notre routine aide à maintenir la souplesse de nos articulations et améliore notre posture.
3. On dépense de l’énergie
Qu’on se déplace à un rythme rapide ou à une cadence plus modérée, la dépense énergétique est au rendez-vous. Les marches matinales facilitent le contrôle de l’appétit pour le reste de la journée.
4. On est moins stressé et de meilleure humeur
L’exercice physique en plein air est efficace pour oxygéner le cerveau et pour réduire le stress et les symptômes d’anxiété. La sécrétion d’endorphines (hormones du bonheur) augmente chez les personnes qui marchent de façon régulière.
5. On renforce notre système immunitaire
Les marches quotidiennes contribuent au renforcement du système immunitaire et nous protègent contre les infections saisonnières. Les personnes sédentaires sont plus à risque d’être malades et leur récupération est moins rapide que chez les marcheurs et marcheuses.
6. On dort mieux
La pratique régulière de la marche en plein air est bénéfique pour le sommeil. L’exercice physique, particulièrement celui qu’on accomplit tôt le matin, en améliore la qualité.
7. On stimule notre créativité
Marcher augmente la créativité et améliore la productivité. Sortir prendre une marche est donc une option à envisager avant de prendre une décision qui mérite réflexion.
8. On renforce nos os et articulations
L’impact de la marche sur nos os et articulations est faible. Être actif aide à renforcer nos os, ce qui réduit le risque de blessures, ceux-ci étant plus solides. De même, sortir régulièrement favorise la production de vitamine D, la peau étant exposée à la lumière du soleil. Le processus d’ostéoporose est ralenti.
Remplir les boîtes à lunch au quotidien avec des aliments nourrissants que les enfants vont aimer et manger jusqu’à la dernière bouchée sans rien jeter, voilà un beau défi à relever en commençant l’année scolaire. Voici 10 conseils pour éviter le gaspillage à l’heure du lunch.
Collations
1. Cuisinez à l’avance vos collations maison et congelez-les en portions individuelles, dans des contenants ou emballages réutilisables. Plus écologique et assurément meilleur que les collations du commerce.
2. Offrez plus de choix, en plus petites quantités. Avec plus d’options, il y a aussi plus de chance qu’au moins une collation plaise à l’enfant.
Fruits et légumes
3. Coupez les fruits. Ils sont souvent plus attrayants aux yeux des enfants et se mangent avec moins d’effort qu’un fruit entier.
4. Enseignez aux enfants à prioriser les aliments périssables. Viande, œufs durs et produits laitiers devraient être mangés en premier.
Sandwichs
5. Privilégiez les ingrédients qui rejoignent les goûts et préférences des enfants. Pourquoi s’entêter à mettre de la mayonnaise dans leur sandwich s’il n’en mange jamais à la maison?
6. Variez les pains et la présentation. Les petits comme les grands se lassent de toujours manger le même sandwich. Déjouer l’ennui avec une nouvelle variété de pain qu’on coupe d’une autre façon a parfois pour avantage d’ouvrir l’appétit.
Bloc réfrigérant
7. Ajoutez-le à la boîte à lunch pour conserver le repas au froid de 4 à 6 heures environ.
8. Utilisez une bouteille d’eau congelée pour refroidir la boîte à lunch.
Restes
9. Rappelez cette consigne à toute la famille: rapporter les restes à la maison, incluant ce qui a été entamé… afin de mieux contrôler les quantités, cuisiner les restes ou mettre au compost ce qui ne peut être mangé.
10. Utilisez les restes du repas de la veille pour assembler de super lunchs le lendemain. N’hésitez pas à préparer la recette en plus grande quantité pour en avoir suffisamment le lendemain.
De l’achat des épis de maïs à la réutilisation des restes, voici 5 conseils et des recettes pour ne rien gaspiller.
1. Calculer la quantité d’épis à acheter
Pour éviter de gaspiller, on se procure le bon nombre d’épis afin de limiter les restes (à moins qu’on ait déjà prévu les utiliser dans d’autres recettes). On compte 2 1/2 épis par adulte et 1 1/2 par enfant. On peut acheter moins de maïs, si on prévoit offrir plusieurs accompagnements.
2. Les choisir
Le maïs étant meilleur frais, on l’achète la veille ou la journée même pour le consommer dans les 24 heures suivantes. On choisit les épis dont les grains sont gonflés et laiteux, avec des feuilles vertes et serrées et des soies pâles et soyeuses. Quant à la couleur des grains, elle a peu d’incidence sur la saveur; la fraîcheur est plus importante.
3. Les conserver
On peut conserver les épis non épluchés au réfrigérateur jusqu’à 3 jours alors que la durée de conservation des épis épluchés est de 1 à 2 jours.
La congélation des épis est possible à condition de les blanchir de 2 à 3 minutes dans l’eau bouillante avant de les refroidir en les plongeant dans un bol d’eau glacée. La durée de conservation du maïs blanchi, en épi ou égrené, est d’environ 1 an au congélateur. On égrène les épis blanchis pour simplifier leur utilisation dans des recettes.
4. Les cuisiner
Les grains sont pâteux et peu sucrés? On en fait du maïs en crème.
- Dans une casserole, couvrir de crème les grains de maïs. Ajouter de la poudre d’ail et du sel.
- Cuire à feu moyen jusqu’à ce que le mélange épaississe et que les grains soient bien tendres.
- Utiliser un pied mélangeur pour réduire la crème en une purée grossière.
Une préparation parfaite pour un pâté chinois végétarien.
5. Faire un bouillon maison
Après en avoir retiré les grains, on garde les épis et on les utilise, seuls ou avec d’autres épluchures de légumes, pour préparer un bouillon. La façon de faire est simple: il suffit de déposer les épis et les retailles dans l’eau, d’amener le tout à ébullition et de laisser mijoter pendant environ une heure pour en libérer les saveurs.
Besoin d’idées pour cuisiner vos restes de maïs? Ces deux recettes savoureuses sont parfaites pour faire plaisir à tout le monde à table.
Encore une fois cet été, les épiceries Rachelle Béry sont fières de proposer à leur clientèle les nouvelles récoltes provenant de fermes bio.
Soutenant les producteurs locaux et favorisant le circuit court entre les fermes et les consommateurs, ce partenariat bénéficie autant à l’économie locale qu’à l’environnement, en plus d’offrir une fraîcheur optimale.
S’inscrivant à même les valeurs de Rachelle Béry, ce partenariat vous permet de mettre dans votre panier des aliments bio provenant d’entreprises dynamiques de chez nous qui s’efforcent constamment de fournir des produits de haute qualité, un geste dont les retombées sont multiples. En effet, en consommant ces produits bio de proximité, vous réduisez votre empreinte carbone, soutenez le développement durable et contribuez à la richesse collective. Rachelle Béry remercie sa clientèle d’ainsi prendre part à cette initiative transformatrice!
On vous présente nos deux fermes partenaires ainsi que les raisons qui les ont motivées à se tourner vers une agriculture 100% biologique.
Ferme aux Pleines Saveurs: petit panier deviendra grand
Depuis 2002, la Ferme aux Pleines Saveurs fait pousser une grande variété de légumes, fruits et herbes sur ses 55 acres à Saint-André-Avellin, en Outaouais. Pour ses propriétaires, il était clair dès le départ qu’ils adopteraient l’agriculture biologique, et ce, même s’ils savaient très bien que cela leur poserait plusieurs défis.
«À l’époque, les aliments biologiques ne connaissaient pas la popularité d’aujourd’hui… et les méthodes n’étaient pas aussi évoluées. On se doutait qu’il faudrait travailler fort pour, tout d’abord, éduquer les gens sur tous les bienfaits de l’agriculture bio, puis pour se tailler une place parmi les produits issus de l’agriculture traditionnelle», relève Chantale Vaillancourt, copropriétaire de la ferme.
Ayant tous les deux été élevés sur leur ferme familiale respective, Chantale et son conjoint, Martin Turcot, connaissaient pourtant déjà bien l’agriculture traditionnelle, mais leurs valeurs environnementales les ont conduits à obtenir la certification biologique de Québec-Vrai.
«Cela signifie notamment que nous utilisons des semences sans OGM qui n’ont pas été traitées aux produits chimiques ainsi que des engrais et des pesticides naturels», précise-t-elle.
Au fil des ans, la demande a motivé les propriétaires de la ferme à augmenter considérablement leur production annuelle. Chantale s’étonne encore du chemin parcouru: «La première année, nous avons pu assembler 75 paniers bios chaque semaine durant la saison, alors qu’en 2017, c’était plutôt 500 paniers par semaine qui ont trouvé preneurs. Aujourd’hui, nous pouvons même fournir certaines succursales Rachelle Béry à Montréal. C’est incroyable!»
L’agricultrice avoue n’avoir jamais été autant à l’affût des tendances en alimentation que depuis la naissance de ce partenariat.avec les Rachelle Béry. «Avec une présence en épicerie, c’est plus facile pour nous de connaître les produits les plus populaires et d’ainsi ajuster notre offre», remarque celle qui apprécie aussi la visibilité inégalée que lui procure cette collaboration.
Ferme de la berceuse: miser sur la qualité des aliments depuis 26 ans
À la Ferme de la berceuse, nichée dans la petite municipalité de Wickham, au Centre-du-Québec, Robin Fortin passe très peu de temps… à se bercer!
En effet, le maraîcher propriétaire passe la plupart de son temps dans les champs à cultiver plus de 40 légumes ainsi que des fruits (dont ses merveilleuses framboises) et des herbes certifiés biologiques. Il en est aujourd’hui à sa 26e année de production.
«J’ai toujours cru non seulement aux multiples bienfaits de la culture biologique, mais aussi à sa nécessité. Pour moi, il était hors de question de me lancer dans l’aventure autrement», relate l’infatigable agriculteur.
Avec ses serres froides et chauffées et ses grands tunnels permettant d’ajouter quelques degrés (qui font toute la différence) à la zone recouverte, il allonge la saison de plusieurs mois. «On peut commencer aussi tôt que le début mars et terminer aussi tard que novembre», indique-t-il.
De cette façon, la ferme prépare des paniers bio pour 300 familles de sa région, en plus de fournir 7 CHSLD et le CHU Sainte-Justine. Sans oublier 5 épiceries Rachelle Béry de Montréal, où ses récoltes occupent les étals durant plusieurs mois depuis plusieurs années déjà.
«Je suis immensément reconnaissant envers Rachelle Béry, car la chaîne rend ainsi accessible une foule de produits biologiques locaux au plus grand nombre. On ressent, par le fait même, son plein soutien envers les producteurs d’ici», mentionne-t-il. Un soutien qui se goûte à travers la qualité et la fraîcheur des légumes et fruits cultivés par la ferme!
L’été est à nos portes et son souffle se ressent dans l’air! Avec lui s’éveille l’effervescence des vacances en plein air et des aventures. Que vos enfants s’immergent dans les camps de jour, que vous vous aventuriez en camping ou que vous savouriez simplement le temps dans votre jardin, une trousse santé naturelle bien garnie s’avère essentielle pour affronter les petits aléas de la saison estivale. Prévoyance et préparation vous permettront de profiter pleinement de vos vacances sans être pris au dépourvu, car un parent préparé en vaut deux!
Voici quelques conseils pratiques pour constituer votre trousse naturelle, en vous procurant des articles auprès de votre marchand de produits naturels ou en utilisant des ingrédients disponibles à la maison.
Égratignures : Assurez une guérison rapide et efficace des égratignures en nettoyant d’abord la plaie avec de l’eau savonneuse, puis en appliquant un mélange dilué d’huile essentielle d’arbre à thé et de lavande aspic pour prévenir l’infection. Pour les égratignures, l’application locale de miel brut non pasteurisé favorisera la cicatrisation en régénérant les cellules de la peau. Son action osmotique permet de capter l’humidité de la plaie, favorisant ainsi la guérison tout en réduisant le risque d’infection grâce à ses propriétés antibactériennes.
Ecchymoses et entorses ou foulures : Les enfants, actifs dans leurs jeux en plein air, peuvent parfois se blesser et revenir à la maison avec des ecchymoses (bleus) ou des étirements musculaires. Dans de tels cas, l’application initiale de compresses froides réduit l’inflammation et soulage la douleur temporairement. Ensuite, une crème ou un gel à base d’arnica appliquée sur la zone endolorie sera bénéfique. Vous pouvez également recourir à un macérat d’huile de camphre pour soulager les inflammations locales et favoriser une meilleure circulation autour de la zone affectée, réduisant ainsi les œdèmes, les bleus et les douleurs musculaires.
Démangeaisons de toute sorte : La simple présence de mouches et de moustiques peut ternir une soirée en plein air, surtout avec les piqûres qui en découlent. Pour apaiser les démangeaisons et réduire l’inflammation, l’application d’huile essentielle de lavande aspic diluée dans du gel d’aloès est recommandée. Vous trouverez également un grand soulagement avec le baume à base de plantain qui est très efficace contre tout type de piqûres ou démangeaisons, y compris celles des orties. La noscapine contenue dans cette plante aurait des propriétés antihistaminiques, ce qui la rend efficace pour réduire l’inflammation.
Si vous êtes pris au dépourvu, sachez que certaines personnes bénéficient d’un soulagement grâce au vinaigre blanc! Son application à l’aide d’un coton soulage efficacement les démangeaisons dues aux moustiques.
Piqûres de guêpes : En cas de piqûre de guêpe ou d’abeille, retirez délicatement le dard à l’aide d’une pince à épiler, si possible. Appliquez ensuite une compresse froide pour réduire l’inflammation, suivie d’une pommade à base de calendula pour apaiser la douleur et favoriser la guérison. L’argile en tube est également un remède utile, car elle peut rapidement réduire l’inflammation. Il suffit d’appliquer une petite boule d’argile fraîche sur la piqûre et de l’envelopper d’un tissu pour la maintenir en place pendant au moins une heure. Ce cataplasme peut être renouvelé aussi souvent que nécessaire pour soulager la douleur et s’alterner avec la pommade de calendula.
Grâce à ces conseils simples et à ces remèdes naturels, vous pouvez vous sentir confiant et prêt à affronter les petits désagréments qui pourraient survenir pendant vos vacances estivales. En vous armant de connaissances et de préparation, vous pourrez pleinement profiter de chaque instant de vos vacances, en toute tranquillité d’esprit.
Jade Marcoux, Naturopathe diplômée de l’ÉESNQ
École d’enseignement supérieur de naturopathie du Québec
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C’est bien connu, le printemps est la période de l’année où, traditionnellement, on fait un grand ménage de la maison afin de retrouver un environnement propre et sain pour la belle saison.
Devant l’immensité de la tâche, vous vous demandez par où commencer? Pas de panique! Voici un outil indispensable pour vous aider à réaliser le ménage de la maison au grand complet en 31 jours, à raison d’une tâche de 15 minutes par jour.
Téléchargez-le ou imprimez-le pour l’accrocher sur votre réfrigérateur afin de faire un suivi du nettoyage, pièce par pièce. Bonne corvée printanière!
L’équipe de Rachelle Béry
On vient à peine de décrocher les décorations d’Halloween qu’on songe déjà à planifier les Fêtes. Qui reçoit qui? À quelle date? Pour souper ou pour le brunch? À tout ceci, il faut tenir compte des régimes alimentaires de chacun. Voici quelques trucs pour organiser des rassemblements festifs… et plus inclusifs!
Un potluck où personne n’est en reste
La formule bien connue du repas-partage convient parfaitement aux groupes, surtout lorsque plusieurs convives souffrent des restrictions alimentaires causées par une intolérance au gluten ou au lactose, une allergie, un taux de cholestérol sanguin élevé, du diabète ou des considérations éthiques et environnementales (régime végétarien ou végétalien). Ici, chacun apporte un petit quelque chose qui composera l’entrée, le plat principal ou le dessert.
L’hôte ou l’hôtesse devra coordonner le tout, en indiquant à chacun les restrictions à respecter. Bien sûr, il faut d’abord déterminer le nombre de personnes qui seront présentes (et évaluer leur appétit). Vous aurez ainsi une bonne idée des quantités de chaque plat ou d’accompagnement à cuisiner. Élaborez un thème afin d’harmoniser les saveurs (cuisine traditionnelle québécoise, italienne ou orientale, par exemple). On propose aussi de répartir la préparation des mets principaux entre les invités, ce qui évitera de surcharger la même personne.
La beauté du potluck, c’est qu’il permet d’offrir un menu varié, tout en proposant aux invités des options intéressantes malgré leur régime plus restrictif. Personne n’est donc en reste… mais on espère quand même se garder de délicieux restes pour le lendemain!
Idées en rafale
En entrée, demandez à vos invités d’apporter plusieurs sortes de salades, comme celle-ci à base de pommes de terre et crème fraîche (sans gluten). Transformez-la en recette sans lactose, en remplaçant la crème ordinaire par une préparation au soya de type Belsoy.
Le tofu laqué à l’érable et au sésame (100 % végane) ne manquera pas non plus de surprendre les convives, grâce à une texture croustillante et un goût à la fois sucré et épicé.
Quant à la fameuse couronne de crevettes, elle plaira à tous ceux et celles à la recherche de bouchées à l’index glycémique bas.
Pour le plat de résistance, on pense notamment aux tartares et à leurs croûtons de pain (sans gluten, au besoin), qu’on prépare avec échalotes, ciboulette ou oignon vert, cornichons, mayonnaise, sauce Worcestershire, moutarde à l’ancienne, sirop d’érable et sauce sriracha.
Tous vos convives seront épatés par des pâtés véganes confectionnés avec tofu extra ferme émietté, haché végétal, oignon, ail, céleri, champignons blancs, vin blanc et bouillon de légumes. Il suffit ensuite d’assaisonner de clou de girofle, de cannelle, de muscade, de moutarde de Dijon et de piment de Cayenne. En dessert, nombre de gâteaux, biscuits et tartes peuvent être facilement élaborés sans gluten (il existe des farines sans gluten qui donnent d’heureux résultats). Si on ne veut pas se risquer, on se tourne vers les mousses, sucres à la crème et fudges, qui se cuisinent également en version sans lactose grâce à de la crème de soya ou de coco, ou encore vers des carrés aux céréales de riz (avec de la guimauve végane, pourquoi pas?).
Vous recevez plutôt pour le brunch? On a préparé un menu 100 % végé avec des recettes sans gluten et sans lactose.
Un buffet où le choix ne manque pas
Le concept du buffet reprend un peu le même principe du repas-partage, soit proposer une multitude de mets. Si vous imaginez qu’on vous suggère de cuisiner jusqu’aux petites heures du matin, détrompez-vous! Il s’agit plutôt de réaliser un seul repas, pour lequel on offre différents ingrédients sur le côté. Les convives n’auront qu’à compléter leur assiette à leur guise.
Par exemple, si vous prévoyez une salade-repas de type niçoise, disposez séparément certains ingrédients, tels que le poulet, le saumon et le tofu rôti ou les œufs cuits durs. Concoctez une vinaigrette au vinaigre de vin rouge sans gluten, sans lactose et végane, puis laissez chacun composer sa recette parfaite.
On peut reprendre le même principe pour une soupe-repas, pour laquelle on prépare un bouillon que tout le monde peut consommer. On invite ensuite les gens à se servir pour finaliser leur plat : nouilles frites, nouilles udon, vermicelles de riz ou orge perlé, protéines (bœuf en tranches, boulettes de porc, pois chiches, lentilles, haricots, etc.), légumes (carottes, pommes de terre ou céleri en cubes, maïs, bok choy, oignon vert, champignons, etc.) et herbes fraîches (persil, basilic, thym ou coriandre). Disposez aussi la garniture séparément : bacon, croûtons, jeunes pousses, crème sure, etc.
Bien sûr, personne ne nous interdit d’offrir des fromages québécois, des charcuteries locales et des crudités en entrée ou encore un fabuleux butterboard.
Dans le doute, faire valider!
Si on souhaite prendre en charge le repas en entier, on fait parvenir notre menu à nos invités, incluant les recettes, afin que tout le monde puisse en vérifier les ingrédients.
Peu importe le régime alimentaire, sachez qu’il existe certainement une solution. Pour en savoir plus, découvrez ces aliments « antirestrictions » et encore plus dans cet article.
Par: Maude Carmel
Intro: Connaissez-vous les culottes Viita? Jolies, minimalistes et écologiques, elles absorbent toutes fuites urinaires et menstruelles. Nombreuses sont les options qu’on trouve sur les tablettes en termes de produits menstruels. Cependant, beaucoup de ces produits sont non seulement néfastes pour la planète, mais également pour la santé. Viita s’est donné pour mission de développer un produit qui répond aux besoins des personnes menstruées dans le respect du corps et de la planète. On peut dire que c’est réussi !
Raquel Tulk étudiait en mode au Collège LaSalle lorsqu’il lui est venu l’idée de créer une culotte qui allait venir en aide aux femmes qui doivent composer avec des fuites urinaires. « Je parlais à une amie de la famille, qui est gynécologue, et elle me disait qu’il n’y avait pas beaucoup d’options de culottes pour ses patientes. J’en ai donc fait mon projet de fin d’année à l’école, et le reste a suivi, raconte-t-elle. Viita est donc brevetée depuis 12 ans. »
Initialement conçus pour les problèmes de fuites urinaires, les produits Viita s’adressent aussi aujourd’hui aux personnes avec des menstruations souhaitant rester au sec… et diminuer leurs déchets. Cette option ultraperformante diffère en effet des produits jetables, comme les serviettes hygiéniques et les tampons, tout en offrant confort et style!
Aux personnes plus frileuses à l’idée de passer une journée dans une culotte lavable, Raquel Tulk conseille d’y aller graduellement. « Je suggère fortement de commencer par acheter un seul sous-vêtement et de l’essayer la nuit ou une journée tranquille à la maison. Pour les journées où les pertes sont plus abondantes, on peut jumeler culotte et coupe menstruelle.» La fondatrice ajoute que la culotte nous permet de reconnecter avec notre corps, contrairement au tampon, qui ne nous donne pas une idée claire de la quantité et du flux des pertes. « La culotte menstruelle peut également aider la femme à se sentir mieux et au sec pendant les moments de son cycle où elle a des pertes autres que menstruelles », précise-t-elle.
Les culottes Viita, en vente actuellement dans 10 succursales Rachelle Béry, jouissent d’une technologie incomparable. « Pour que les gens comprennent mieux comment ça fonctionne, j’aime faire une comparaison avec les sous-vêtements de sport, qui permettent à la sueur de s’évacuer pour rester au sec. Avec nos culottes, c’est complètement l’inverse. On veut que la partie qui touche aux organes génitaux reste au sec. Le liquide disparaît donc en quelques secondes pour être emprisonné à l’intérieur de la culotte. On n’a pas la sensation mouillée qu’entraînent les produits jetables! Quant à la dernière épaisseur, elle agit un peu comme un parapluie pour empêcher le liquide de traverser la culotte. »
À noter qu’il n’y a aucun produit chimique dans les sous-vêtements Viita (surtout pas des PFAS!). Autrement dit, avec Viita, on fait cohabiter mode, écologie, efficacité et santé!
À Pâques, on rassemble famille et amis autour de notre table, qui se fait ici invitante pour tous les régimes. Oust les grosses pièces de viande pour tous! Cette année, on propose un menu qui s’équilibre entre les viandes juteuses, les poissons tout légers et les protéines végétales revêtues de leurs plus beaux atours. Sans oublier les plaisirs chocolatés, que petits et grands attendront impatiemment. Plusieurs Miam! ponctueront sans doute les conversations sympathiques!
Trinquons au printemps!
Après les tempêtes, les froids polaires et les journées écourtées de l’hiver, a-t-on vraiment besoin d’une autre raison que l’arrivée des journées clémentes du printemps pour lever notre verre? Pour faire honneur à notre emblème national, on sert à nos invités un verre de bulles « arrangées » façon érable. Dans un secoueur (shaker) rempli de glace, on verse 1 oz de gin, du jus de pamplemousse et du sirop d’érable, qu’on mélange vigoureusement et qu’on verse dans une flûte remplie à moitié de bulles de notre choix. On décore avec un twist de citron. Nos bras ne chômeront pas : il se pourrait fort bien qu’on nous en redemande!
Pour ceux qui préfèrent un mocktail, la limonade coco-lavande combine des saveurs qu’on explore moins souvent, comme celle de la fleur de lavande, dont la teinte violacée convient parfaitement à la thématique de Pâques.
Une entrée fracassante
Si on souhaite émoustiller les papilles de nos convives avec une entrée, aussi bien le faire en grand! Pour accompagner nos bulles à l’érable, rien de tel que du tofu laqué à l’érable et au sésame. Légèrement relevés avec le sambal oelek et le gingembre, ces petits cubes bien dorés s’envoleront vite (on vous conseille donc de parler un peu moins à ce moment et d’en profiter pendant qu’il en reste).
Sinon, une trempette crémeuse artichauts-épinards végane fera certainement jaser alors qu’elle se déguste encore chaude à la sortie du four sur des croûtons. On est à des lieues de celles du commerce.
Et si on souhaite épater la galerie, on prépare des baluchons de crevettes et brie, si mignons décorés de ciboulette. Avec ces baluchons, on se prépare à partir pour un voyage gustatif enlevant.
Le principal, c’est le plaisir
Pour le plat principal, on peut bien sûr servir notre porc du Québec adoré… mais autrement que sous forme de jambon à l’ananas. Pourquoi ne pas préparer une salade de pâtes avec bacon biologique enrobée à l’aïoli maison, où la laitue romaine, les tomates cerises et basilic apportent une jolie touche de fraîcheur?
Si les enfants se sont amusés à peindre des œufs de Pâques, on récupère blancs et jaunes pour en faire une quiche lorraine, où bien sûr le jambon (ou le bacon) tient la vedette aux côtés du gruyère et ses arômes juste assez affirmés.
Pour une table où tous s’accordent sur les plaisirs occasionnels d’une bonne pièce de viande rouge, on se laisse tenter par le bifteck français et sa sauce au chocolat noir (on ne pourrait cadrer plus avec Pâques!). À la fois audacieux et classique, grâce au thym, vin rouge et vinaigre balsamique, qui nous ramènent en terrains connus. Pour un bœuf d’ici de qualité supérieure, biologique et nourri à l’herbe, on se tourne vers les produits de 8Acres.
Envie du petit côté sucré de l’érable, mais tout en légèreté? On plonge dans l’univers marin et ses poissons à chair tendre et nourrissante, notamment sous forme de salade-repas au tilapia grillé, quinoa et noix de macadam et sa vinaigrette au sirop d’érable. Quant au saumon, il se savoure aussi bien laqué à l’érable avec moutarde de Dijon et sauce soya que dans une version plus riche et décadente, nappé de béchamel au fromage fondu.
On peut aussi servir fièrement des tourtières véganes (pourquoi ne se les réserver qu’aux Fêtes?), où le millet rappelle avec conviction la texture de la viande hachée, alors que les champignons, oignons, chou frisé, herbes et épices s’offrent en spectacle pour combler le palais.
Une faim sans fin
Pour clore le festin, on propose des desserts qui se dévorent sans faim, par unique gourmandise. En effet, même les plus repus ne pourront résister à ces finales sucrées, à commencer par cette tarte aux pistaches et à l’avocat mariant chocolat et sirop d’érable.
Envie d’ébahir? Ce moelleux au chocolat garni d’une poire pochée au miel récoltera les éloges (entièrement méritées). Pour une version plus rapide à préparer, on opte pour ces soufflés au chocolat et à la poire, qui feront tout autant saliver.
Délice express par excellence, la mousse au chocolat ne manque jamais de réjouir tout un chacun. Elle se prépare à l’aide d’un minimum d’ingrédients et de temps, tout en offrant un maximum de saveurs et d’onctuosité. Pour souligner Pâques, on décore chaque portion individuelle de petits œufs recouverts de sucre craquant, d’un morceau d’œuf en chocolat au centre fondant ou de petits chocolats pralinés en formes d’œufs, de lapins ou de poules.
À ceux et celles qui sont moins friands de chocolat on sert du pouding chômeur en version végane. Sirop d’érable, cassonade et lait de coco confectionnent ici la sauce dont on recouvre généreusement le gâteau blanc moelleux. Nous voilà transportés à la cabane à sucre en l’espace d’une bouchée!