Plus de 2 milliards de tasses de café sont bues chaque jour partout sur la planète! Ce nombre impressionnant signifie que quelque 19 000 tonnes de marc sont produites quotidiennement. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe différents usages domestiques pour ce résidu. Voici 8 idées pour l’utiliser.
ENTRETIEN DE LA MAISON
1. Un neutralisant d’odeurs
Le marc de café est une solution de remplacement au bicarbonate de soude. Comme ce dernier, il est efficace pour chasser les odeurs à l’intérieur du réfrigérateur. De plus, se frotter les mains avec du marc de café aiderait à éliminer les odeurs qui persistent, comme celle de l’oignon et de l’ail.
2. Un récurant à vaisselle
On tire profit des qualités abrasives du marc de café pour nettoyer les poêlons et les casseroles encrassés. On en met dans les ustensiles de cuisson avec de l’eau bien chaude et on frotte avec une éponge.
3. Une option pour les canalisations?
Les avis divergent à savoir si le marc de café est bon pour nettoyer et désodoriser le drain d’un évier de cuisine. On vante son côté granuleux, mais le résidu de café est aussi huileux et aurait tendance à se mélanger aux amas graisseux accumulés sur les parois des tuyaux pour aggraver un problème d’obstruction. Dans tous les cas, il est préférable de le mélanger avec de l’eau chaude, lorsqu’on l’utilise comme désodorisant.
EN CUISINE
4. Un ingrédient dans nos recettes
On trouve du marc de café dans plusieurs recettes de desserts développées dans un esprit anti-gaspillage, tels des biscuits, des brownies, des crumbles, etc. Certaines suggèrent même de remplacer le café moulu par son résidu dans certaines recettes sans que cela en affecte le goût.
SOINS DE BEAUTÉ
5. Un exfoliant pour la peau
Dans le domaine de la beauté, la texture granuleuse et les qualités du marc de café en font un sous-produit de plus en plus utilisé pour les gommages exfoliants. On peut facilement préparer une recette maison en mélangeant une cuillère de marc avec un peu d’huile (de coco, d’amande ou végétale) et s’en servir pour masser et adoucir la peau du visage et du cou.
À L’EXTÉRIEUR ET DANS LE POTAGER?
L’utilisation du marc de café comme répulsif ou fertilisant ne fait pas l’unanimité. Des recherches sont toujours en cours pour mettre à jour les mythes qui persistent quant à ses nombreux bienfaits pour les plantes et le potager.
6. Un répulsif à insectes
Plusieurs suggèrent d’utiliser le marc de café comme insectifuge (et non insecticide) et de le répandre aux pieds des plantes pour éloigner les pucerons, les limaces et autres insectes nuisibles. S’il est vrai que l’odeur de café repousse certains insectes, son effet est toutefois limité et se résume souvent à un remède de grand-mère.
On peut faire le test soi-même et vérifier ce qu’il en est en saupoudrant un peu de marc de café au pied des fondations et autour de la terrasse pour observer si son ajout éloigne les indésirables de la maison.
7. Un fertilisant
Le marc de café contient de l’azote qui enrichit le sol et joue un rôle essentiel dans la croissance des plantes. On recommande cependant de l’utiliser avec parcimonie dans le jardin, vu sa tendance à former une croûte qui fait barrière au passage de l’eau et de l’air. Pour cette raison, on suggère de mélanger le résidu de café avec de la terre ou du paillis avant de l’appliquer au sol, ou, mieux encore, de l’ajouter directement à son compost (domestique ou via la collecte municipale).
8. Un enrichisseur à compost
La recommandation qui fait consensus est de mettre le marc de café au compost. Il s’agirait, de l’avis de plusieurs, de la meilleure façon de profiter de ses effets positifs. C’est un allié riche en minéraux, dont la liste inclut du potassium, du magnésium et du phosphore.
Ajouter du marc de café au compost en améliore les qualités. Entre autres, il chasse les odeurs, améliore la texture et favorise l’activité biologique du compost. Il convient de ne pas l’utiliser à trop forte dose, car le marc agit aussi comme inhibiteur. Trop en mettre nuit à la croissance de certains types de plantes et des champignons nécessaires à la décomposition du compost.
Remplir les boîtes à lunch au quotidien avec des aliments nourrissants que les enfants vont aimer et manger jusqu’à la dernière bouchée sans rien jeter, voilà un beau défi à relever en commençant l’année scolaire. Voici 10 conseils pour éviter le gaspillage à l’heure du lunch.
Collations
1. Cuisinez à l’avance vos collations maison et congelez-les en portions individuelles, dans des contenants ou emballages réutilisables. Plus écologique et assurément meilleur que les collations du commerce.
2. Offrez plus de choix, en plus petites quantités. Avec plus d’options, il y a aussi plus de chance qu’au moins une collation plaise à l’enfant.
Fruits et légumes
3. Coupez les fruits. Ils sont souvent plus attrayants aux yeux des enfants et se mangent avec moins d’effort qu’un fruit entier.
4. Enseignez aux enfants à prioriser les aliments périssables. Viande, œufs durs et produits laitiers devraient être mangés en premier.
Sandwichs
5. Privilégiez les ingrédients qui rejoignent les goûts et préférences des enfants. Pourquoi s’entêter à mettre de la mayonnaise dans leur sandwich s’il n’en mange jamais à la maison?
6. Variez les pains et la présentation. Les petits comme les grands se lassent de toujours manger le même sandwich. Déjouer l’ennui avec une nouvelle variété de pain qu’on coupe d’une autre façon a parfois pour avantage d’ouvrir l’appétit.
Bloc réfrigérant
7. Ajoutez-le à la boîte à lunch pour conserver le repas au froid de 4 à 6 heures environ.
8. Utilisez une bouteille d’eau congelée pour refroidir la boîte à lunch.
Restes
9. Rappelez cette consigne à toute la famille: rapporter les restes à la maison, incluant ce qui a été entamé… afin de mieux contrôler les quantités, cuisiner les restes ou mettre au compost ce qui ne peut être mangé.
10. Utilisez les restes du repas de la veille pour assembler de super lunchs le lendemain. N’hésitez pas à préparer la recette en plus grande quantité pour en avoir suffisamment le lendemain.
De l’achat des épis de maïs à la réutilisation des restes, voici 5 conseils et des recettes pour ne rien gaspiller.
1. Calculer la quantité d’épis à acheter
Pour éviter de gaspiller, on se procure le bon nombre d’épis afin de limiter les restes (à moins qu’on ait déjà prévu les utiliser dans d’autres recettes). On compte 2 1/2 épis par adulte et 1 1/2 par enfant. On peut acheter moins de maïs, si on prévoit offrir plusieurs accompagnements.
2. Les choisir
Le maïs étant meilleur frais, on l’achète la veille ou la journée même pour le consommer dans les 24 heures suivantes. On choisit les épis dont les grains sont gonflés et laiteux, avec des feuilles vertes et serrées et des soies pâles et soyeuses. Quant à la couleur des grains, elle a peu d’incidence sur la saveur; la fraîcheur est plus importante.
3. Les conserver
On peut conserver les épis non épluchés au réfrigérateur jusqu’à 3 jours alors que la durée de conservation des épis épluchés est de 1 à 2 jours.
La congélation des épis est possible à condition de les blanchir de 2 à 3 minutes dans l’eau bouillante avant de les refroidir en les plongeant dans un bol d’eau glacée. La durée de conservation du maïs blanchi, en épi ou égrené, est d’environ 1 an au congélateur. On égrène les épis blanchis pour simplifier leur utilisation dans des recettes.
4. Les cuisiner
Les grains sont pâteux et peu sucrés? On en fait du maïs en crème.
- Dans une casserole, couvrir de crème les grains de maïs. Ajouter de la poudre d’ail et du sel.
- Cuire à feu moyen jusqu’à ce que le mélange épaississe et que les grains soient bien tendres.
- Utiliser un pied mélangeur pour réduire la crème en une purée grossière.
Une préparation parfaite pour un pâté chinois végétarien.
5. Faire un bouillon maison
Après en avoir retiré les grains, on garde les épis et on les utilise, seuls ou avec d’autres épluchures de légumes, pour préparer un bouillon. La façon de faire est simple: il suffit de déposer les épis et les retailles dans l’eau, d’amener le tout à ébullition et de laisser mijoter pendant environ une heure pour en libérer les saveurs.
Besoin d’idées pour cuisiner vos restes de maïs? Ces deux recettes savoureuses sont parfaites pour faire plaisir à tout le monde à table.
Puisqu’on fait souvent nos courses un peu à la… course, on apprécie tout ce qui peut nous faciliter la tâche à l’épicerie.
Chez Rachelle Béry c’est important de mettre les produits d’ici de l’avant, alors il est facile de repérer en un clin d’œil les logos d’Aliments du Québec et ainsi remplir son panier de délicieux aliments produits ou transformés ici sans casse-tête.
Curieux d’en savoir plus sur les différentes marques de certification proposées par l’organisme? C’est par ici!
Le local a la cote!
Ce n’est plus un secret pour personne: acheter local, c’est à la fois encourager nos producteurs et transformateurs talentueux et stimuler notre économie.
De plus en plus conscientisés, les gens préfèrent souvent les produits locaux à ceux qui viennent d’ailleurs. En plus, il y en a de toutes sortes offerts à longueur d’année!
Cet engouement envers nos joyaux locaux confirme l’importance d’Aliments du Québec, qui propose aux consommateurs plus de 25 000 produits dont la provenance a été vérifiée.
Que signifie exactement…
… Aliments du Québec?
Pour porter cette marque de certification, les produits doivent être composés d’au moins 85% d’ingrédients d’origine québécoise et avoir été transformés ainsi qu’emballés ici.
Si l’organisme a opté pour 85% au lieu de 100%, c’est pour laisser la chance aux produits de se qualifier même si une petite partie de leurs ingrédients provient d’ailleurs, notamment des herbes et des épices, des arômes ou des agents de conservation. Ainsi, du poulet dans une marinade au cumin pourrait porter le logo Aliments du Québec.
«Essentiellement, ce sont les fruits, les légumes, les œufs, les viandes, le lait et les produits laitiers qui portent ce sceau», précise Annie Martineau, conseillère en communication chez Aliments du Québec.
… Aliments préparés au Québec?
Les savoir-faire de nos transformateurs aussi méritent d’être mis de l’avant! En déclinant différents produits de base de 1001 façons, ils parviennent à leur créer une identité bien québécoise.
Ainsi, cette marque de certification atteste que les produits ont bel et bien été transformés et emballés ici. Ces produits doivent aussi être composés d’ingrédients du Québec, s’ils sont disponibles en quantité suffisante.
Cafés, boissons, grignotines et mets préparés ne sont que quelques exemples de produits qui sont considérés comme des Aliments préparés au Québec.
… Aliments du Québec – Bio?
Depuis 2013, Aliments du Québec propose la marque de certification bio, en réponse à la demande grandissante envers cette catégorie de produits issus d’une agriculture, d’élevage et de méthodes plus respectueuses pour l’environnement, notamment.
«Ceux-ci répondent aux mêmes critères que ceux identifiés Aliments du Québec, en plus d’être certifiés bios par la Filière biologique du Québec et le Conseil des appellations réservées et des termes valorisants», explique Mme Martineau.
De nombreux produits vendus chez Rachelle Béry portent fièrement ce logo, au grand plaisir de toutes les personnes à la recherche de produits en phase avec leurs valeurs et des exigences spécifiques.
Ouvrez l’œil parmi les fruits, légumes, épices, céréales, huiles et produits laitiers offerts (pour ne nommer que ceux-là)!
… Aliments préparés au Québec – Bio?
Vous vous en doutez, il s’agit de produits classifiés Aliments préparés au Québec qui sont également certifiés biologiques. On trouve, entre autres, parmi eux des thés, des tartinades et des mélanges de noix. Oui, c’est le meilleur des deux mondes!
Que ce soit pour encourager notre économie, pour des raisons écologiques ou simplement pour vous régaler de produits de qualité bien de chez nous, recherchez les logos d’Aliments du Québec lors de votre prochain arrêt chez Rachelle Béry!
Qu’on parle d’un mouvement ou d’un défi, le mois de février sans alcool a commencé tout petit et est maintenant devenu une tradition au Québec. Au-delà de le voir comme une résolution d’abstinence, j’aimerais souligner à quel point cette initiative est un bon moment pour repenser sa relation avec l’alcool.
On pourrait le faire à l’année, mais profitons du mois de février!
Heureusement, l’offre des spiritueux sans alcool a de quoi plaire. Celle-ci a littéralement explosé au cours des dernières années et on en retrouve une très belle sélection à l’épicerie santé Rachelle Béry. Bien plus qu’une tendance, ne pas boire d’alcool est de plus normalisé, et de moins en moins questionné.
Afin de poursuivre la réflexion, il faut savoir que la science démontre que la génétique explique environ 50 % du risque de développer un trouble lié à l’usage de l’alcool. Pour l’autre 50%, il faut réfléchir à notre fréquence de consommation, la quantité qu’on boit à chaque occasion et l’environnement dans lequel on boit. Avec toutes ces informations en main, on peut donc revoir et adopter des habitudes qui vont avec une consommation responsable à l’année, et qui favorise la santé!
Grâce à toutes ces informations, on peut poursuivre nos réflexions autour d’un bon verre sans alcool. Chin-chin à ces inspirations!
mots de Annie Ferland, nutritionniste et docteure en pharmacie
Moscow mule au thé, au gingembre et aux fraises pétillantes
pour 1 verre
INGRÉDIENTS
Pour le sirop au thé earl grey et au gingembre
- 125 ml (½ tasse) de racines de gingembre bio, bien lavées et tranchées
- 125 ml (½ tasse) de sucre
- 180 ml (¾ tasse) d’eau
- 15 ml (1 c. à soupe) de thé earl grey (comme celui de Camellia Sinensis)
Pour le moscow mule
- 1.5 oz de sirop de thé earl grey au gingembre
- 0.5 oz de jus de lime frais
- 1 canette de Loop Mission aux fraises pétillantes
PRÉPARATION
Pour le sirop au thé earl grey et au gingembre
- Dans une petite casserole, porter à ébullition l’eau, le sucre et les racines de gingembres tranchées. Laisser mijoter 1 minute.
- Hors du feu, ajouter le thé Earl Grey. Couvrir et laisser infuser 20 minutes. Filtrer le sirop et laisser tiédir (se conserve 2 semaines au réfrigérateur dans un contenant hermétique).
Pour le moscow mule
- Verser tous les ingrédients dans un verre rempli de glaçons, à l’exception du Loop Mission aux fraises pétillantes.
- Allonger avec le Loop Mission aux fraises pétillantes et mélanger avec la cuillère.
- Garnir d’une tranche de gingembre bio et d’une fraise.
Faux gin fizz au thym et à la clémentine
pour 1 verre
INGRÉDIENTS
- Quelques branches de thym bio
- 1 oz de gin sans alcool Statera
- 1 oz de sirop simple (comme celui de Monsieur Cocktail)
- Le jus de 2 clémentines
- 1 oz de jus de citron
- Glaçons
- Eau pétillante
Pour la garniture
- Glaçons
- 1 branche de menthe
PRÉPARATION
- Écraser le thym dans le shaker à l’aide du pilon.
- Verser le reste des ingrédients dans le shaker, à l’exception de l’eau pétillante.
- Ajouter des glaçons puis mélanger vigoureusement.
- Filtrer dans un verre rempli de glaçons à l’aide d’une passoire fine.
- Allonger avec l’eau pétillante et mélanger délicatement l’aide d’une cuillère.
- Garnir d’un bouquet de thym
Mimosa au pamplemousse, framboises et feuilles de sauge
pour 1 verre
INGRÉDIENTS
- Framboises fraîches
- Mimosa au pamplemousse sans alcool et prêt à boire de Premium Mocktail
PRÉPARATION
- Écraser les framboises dans le shaker à l’aide du pilon.
- Verser le Mimosa au pamplemousse sans alcool et prêt à boire dans le shaker.
- Ajouter des glaçons et mélanger très délicatement à l’aide d’une cuillère de bar.
- Filtrer dans un verre rafraîchi.
- Garnir d’une feuille de sauge.
Lors de vos célébrations, pourquoi ne pas lever votre verre aux mocktails? Ces boissons sans alcool sont aussi délicieusement festives que des cocktails… sans leurs effets indésirables! Voici quelques principes qui vous aideront à les réussir à la perfection.
Que des avantages!
Les mocktails ne sont pas réservés qu’au conducteur désigné. Ce type de boisson permet à tous de limiter leur consommation d’alcool, ce qui a des effets bénéfiques sur la santé. En plus, ils sont beaucoup plus économiques. Raison de plus d’avoir le cœur à la fête!
L’ABC des mocktails
À l’instar des cocktails, le secret des bons mocktails réside dans l’équilibre des saveurs. Ils sont composés d’une base, comme du jus ou une boisson gazéifiée. Certaines recettes comprennent un élément sucré, contrebalancé par un ingrédient acide tel que du jus de citron ou de lime. Pour obtenir une finale savoureuse, incorporez-y aussi un aromate, comme de la cannelle, de la menthe, du romarin ou du basilic.
En panne d’imagination? Sachez que les mocktails s’inspirent souvent de leur recette originale. Bloody Caesar, mojito, pina colada, margarita ou Tom Collins: la plupart se recréent très facilement en substituant le vin, la bière et les spiritueux. Il existe d’ailleurs plusieurs de leurs équivalents sans alcool sur le marché. Pour obtenir un meilleur résultat, on vous conseille de respecter les proportions de la version classique. Vous pouvez aussi remplacer l’alcool par des ingrédients que vous avez sous la main. Voici quelques idées pour convertir avantageusement les cocktails en mocktails.
- Vin blanc doux: jus de raisin blanc + jus de citron
- Vin rouge: jus de canneberge non sucré
- Mousseux: jus de pomme concentré + eau gazéifiée
- Cognac: jus de pêche ou d’abricot
- Gin: infusion à la camomille et au concombre
Un petit truc: pour remplacer les liqueurs, utilisez d’autres ingrédients qui apportent une saveur similaire. Par exemple, remplacez le sirop simple aromatisé ou encore amer à la pêche d’un sex on the beach par du schnaps aux pêches.
Le sirop simple: si simple à faire!
Il porte si bien son nom: le sirop simple se fait en quelques minutes avec peu d’ingrédients. De base, il contient à parts égales eau et sucre, qui se dissout dans la casserole lorsque le mélange atteint le point d’ébullition. C’est à ce moment qu’on le retire du feu pour infuser les aromates, comme des herbes, des écorces d’agrumes, une gousse de vanille ou des épices. Envie d’y apporter une touche unique? Concoctez un sirop à la lavande! Un véritable délice dans ce succulent mocktail floral.
Varier la base – et le plaisir
Grâce à sa teneur en caféine, le yerba maté permet de concocter des mocktails qui plairont à tous les amateurs de boissons énergisantes. Essayez-le ici dans cette recette, infusé dans de l’eau pétillante et aromatisé à la menthe.
Le kombucha inspire aussi des créations désaltérantes. Dans le Mocktail Vanilla Ice, la framboise partage la vedette avec la vanille et le thym frais, qui y répand ses arômes pour créer une finale herbacée.
Des glaçons à faire fondre!
Personne ne restera de glace devant des glaçons aux formes amusantes. Allez-y selon votre fantaisie ou la thématique liée à votre célébration.
Fruits et aromates peuvent, bien sûr, agrémenter la saveur ou l’esthétisme de votre verre. Il suffit d’ajouter dans les bacs à glaçons des feuilles de basilic, des pétales de roses séchées ou des bleuets, par exemple.
Une présentation qui fait sensation
Pour préparer un mocktail qui fait bonne impression, décorez-le de rondelles de citron ou d’orange séchée ou d’une branche d’herbe fraîche (comme l’estragon, qui trône sur ce mocktail pétillant à l’orange et aux canneberges). Les gourmands seront conquis par une garniture de bacon, de la guimauve flambée, des bonbons ou une brochette de fruits.
Une jolie mousse permet aussi d’égayer vos mocktails, notamment ceux de types sour. Elle s’obtient aisément en secouant d’abord les ingrédients avec un peu de blanc d’œuf au mélangeur, avant de remuer à nouveau avec des glaçons.
La rentrée et le retour à la routine qui s’en suit peuvent être une source d’anxiété et de tension importante pour les jeunes comme les moins jeunes. La gestion du stress et du sommeil devient donc une priorité. BIXI et Rachelle Béry proposent des solutions pour aider à retrouver un équilibre sain dans nos vies trépidantes.
BIXI entre en jeu en offrant une alternative de transport écologique et bénéfique pour la santé. En se déplaçant à vélo, non seulement on fait de l’exercice, mais on peut aussi se détendre et prendre un moment pour soi, ce qui contribue grandement à la gestion du stress. L’exercice physique est reconnu pour libérer des endorphines, les « hormones du bonheur », qui aident à améliorer l’humeur et à réduire le stress.
Pour compléter cette approche holistique, nous proposons une gamme de produits naturels dédiés à la gestion du stress et du sommeil. Du thé apaisant aux compléments spécialement formulés, ces produits naturels offrent des solutions douces et efficaces pour retrouver un sommeil réparateur et apaiser l’esprit. Pour ceux qui cherchent des trucs et astuces, nos experts en santé naturelle sont présents en magasin pour vous guider vers les choix les plus adaptés à vos besoins.
La rentrée peut être une période stressante, mais grâce à des partenariats intelligents comme celui entre BIXI et Rachelle Béry, des solutions pratiques et naturelles sont à portée de main. Que ce soit en pédalant vers le bien-être ou en découvrant des produits naturels apaisants, vous pourrez aborder la rentrée avec confiance et sérénité.
L’été est la saison tant attendue pour les escapades en plein air, les pique-niques au soleil et les aventures à vélo. Pas de vélo? Pas de problème! Le service BIXI est présent dans 8 villes de la grande région de Montréal pour faciliter vos sorties en famille ou entre amis. Et pour vous assurer une escapade sans soucis, Rachelle Béry offre une gamme de produits pratiques qui feront de vos excursions estivales un vrai plaisir.
En louant un BIXI, vous pouvez explorer facilement les parcs et les espaces verts de la ville tout en ayant l’équipement nécessaire pour un pique-nique mémorable. Nous proposons des paniers-repas prêts à manger, incluant une sélection de produits sushi taxi, des sandwiches frais, des salades croquantes et même des boissons rafraîchissantes comme le kombucha.
Mais n’oubliez pas la protection solaire et les solutions contre les moustiques! Nous avons une gamme de produits naturels de qualité pour vous garder en sécurité et vous permettre de profiter du plein air en toute sérénité.
Pour une expérience BIXI optimale, assurez-vous de planifier à l’avance. Vérifiez les stations BIXI à proximité de votre destination et téléchargez l’application pour un accès facile. Préparez également votre itinéraire et gardez une bouteille d’eau et des collations à portée de main pour rester énergisé tout au long de votre balade.
En somme, des vacances estivales réussies allient l’aventure en BIXI avec des pique-niques gourmands et des précautions bien pensées signées Rachelle Béry! Préparez-vous, explorez et savourez chaque instant de l’été avec nous!
La consommation locale et responsable prenant de plus en plus d’importance au Québec, au grand bonheur de notre planète, il s’impose de trouver des solutions de rechange à l’agriculture dite traditionnelle. Et si la culture verticale était une solution pour nourrir ses habitants en quantité suffisante avec des aliments sains, locaux et abordables?
Ce type de culture permet de produire un maximum de nourriture dans un minimum d’espace en superposant des plateaux sur lesquels poussent des plantes. Ces étagères verticales sont ordonnées dans des fermes closes où la température, la luminosité et l’humidité sont parfaitement contrôlées.
Des centaines d’espèces de légumes, de fruits, de champignons et d’aromates peuvent y être cultivées en quantités plus importantes que dans les serres (jusqu’à 10 fois plus) et les champs (jusqu’à 100 fois plus). Le concept semble très moderne, en comparaison aux champs de salades et de patates en terre qu’on a toujours connus! Or ses bénéfices ne s’arrêtent pas à ses capacités de rendement : ce type de culture offre aussi des solutions durables aux défis environnementaux que rencontre l’agriculture traditionnelle.
Des économies d’eau et d’énergie
En concentrant leurs plantations dans un espace optimisé, les fermes verticales consomment moins d’eau et d’énergie. En fait, la majorité de ces cultures optent pour l’hydroponie, une méthode qui consiste à faire pousser les plantes dans un substrat neutre (billes d’argile, sable, feutre horticole…) qui nécessite jusqu’à 95 % moins d’arrosage qu’une plantation conventionnelle en terre.
Une culture plus locale
Moins encombrantes, les fermes verticales peuvent s’établir plus près des villes, donc des consommateurs. Cette proximité réduit les frais et les délais de livraison, tout en facilitant la mise en place d’un système de traçabilité. Ces fermes contribuent aussi à une plus grande autonomie alimentaire du Québec, qui peut faire pousser ses propres aliments en toute saison plutôt que de les importer d’autres pays et continents.
Des aliments plus sains
L’environnement parfaitement contrôlé des fermes verticales permet de prévenir l’apparition de maladies et d’insectes dans les plantations. Cela permet d’éviter l’utilisation de pesticides, d’herbicides et de fongicides, des substances nocives pour l’environnement et la santé que de nombreux consommateurs ne veulent résolument plus mettre dans leur assiette.
Moins de gaspillage
La culture des aliments à l’abri des intempéries et des caprices de la météo, en particulier au Québec, où l’hiver est rigoureux, permet d’assurer un rendement constant et toute l’année. Par exemple, la Ferme d’Hiver, à Vaudreuil-Dorion, fait pousser des fraises à longueur d’année. Elle en est devenue la principale plantation verticale au Canada et vise à remplacer 10 % des importations de fraises au pays d’ici 3 ans.
Rachelle Béry soutient les fermes verticales du Québec
Pour goûter des aliments frais et locaux et constater par soi-même les prouesses de la culture verticale québécoise, il suffit de repérer l’une de ces entreprises sur les étalages des magasins Rachelle Béry : La boîte maraîchère, Ferme d’Hiver et AquaVerti. Bon appétit!
Et ailleurs dans le monde?
Aux États-Unis, l’entreprise Square Roots a eu la bonne idée de recycler d’anciens conteneurs maritimes pour y installer des plantations verticales de salade, de basilic, de coriandre et d’aneth, remplaçant ainsi presque un hectare de terres agricoles.
À Londres, la ferme Growing Underground produit environ 2 tonnes de nourriture par mois dans des tunnels souterrains qui étaient destinés à protéger la population en cas d’attaque durant la Seconde Guerre mondiale.
Au Japon, la multinationale Pasona Group a carrément instauré la culture verticale au milieu de ses bureaux! Un champ de riz de 90 m2 orne le hall d’entrée de son immeuble et des arbres fruitiers ont été plantés en guise de cloisons pour séparer les cubicules de ses employés.
Enfin, dans le monde entier, Projet Hectar vend une étagère végétale qui permet de cultiver son propre potager vertical à la maison. On peut y faire pousser 128 espèces de plantes différentes, du chou frisé aux épinards, en passant par la laitue et les haricots verts.
Le saviez-vous?
Le concept des fermes verticales a vu le jour grâce aux recherches de la NASA, qui cherchait comment les astronautes pourraient se nourrir de fruits et légumes frais dans un espace clos, restreint et avec un minimum d’eau et de substrat.
Vous rappelez-vous l’époque, pas si lointaine, où l’expression « faire du neuf avec du vieux » avait une connotation négative alors qu’elle se traduisait par un manque d’originalité? Aujourd’hui, au contraire, on salue tous ceux et celles qui font du neuf avec du vieux afin de contribuer à l’économie circulaire. Explications de ce modèle économique durable et des manières de l’intégrer à notre vie de tous les jours.
Rechercher des produits à base d’ingrédients recyclés
Il n’y a pas que dans notre assiette que l’on peut participer à l’économie circulaire! Au quotidien, il y a moyen de choisir des biens de consommation qui encouragent ce modèle, comme les soins personnels de la marque Malté (en vente en exclusivité chez Rachelle Béry). Exemple parfait de l’économie circulaire, Malté fabrique des produits à base de drêche de malt récupérée dans les microbrasseries québécoises. La drêche possédant de multiples propriétés pour la peau et les cheveux, elle se retrouve dans les shampoings, revitalisants et nettoyants pour le corps de la marque aux parfums divins.
En phase avec ses valeurs de revalorisation de la matière, l’entreprise propose aussi des emballages écoresponsables, dont des boîtes à savon biodégradables imprimées à l’encre végétale, des bouteilles fabriquées entièrement de plastique récupéré des berges des océans et 100 % recyclable ainsi que des bouteilles en paille de blé biodégradables en maximum trois ans. De plus, Malté conçoit des savons, shampoings et revitalisants en barres, dont l’empreinte écologique est moindre comparativement à leur version liquide. Prendre soin de la planète ne nous a jamais procuré autant de bien!
Un bel exemple d’économie circulaire et d’écoresponsabilité!
L’économie circulaire, un principe qui tourne rond
Selon Recyc-Québec, l’économie circulaire se définit comme « un système de production, d’échange et de consommation visant à optimiser l’utilisation des ressources à toutes les étapes du cycle de vie d’un bien ou d’un service, dans une logique circulaire, tout en réduisant l’empreinte environnementale et en contribuant au bien-être des individus et des collectivités ».
L’objectif de l’économie circulaire repose donc sur deux axes :
- Revoir les modes de production et de consommation afin de réduire les besoins en ressources et de protéger l’environnement et les écosystèmes qui les génèrent;
- Utiliser les ressources déjà présentes dans nos vies de façon optimale (soit utiliser les produits plus souvent, prolonger leur durée de vie et trouver une seconde utilité à ceux dont on n’a plus besoin).
Les retombées de l’économie circulaire bénéficient autant à l’économie locale et à la société (en favorisant notamment la sécurité alimentaire) qu’à l’environnement.
Lutter contre le gaspillage alimentaire
Tout le monde a un rôle à jouer dans l’économie circulaire, des producteurs aux consommateurs, en passant par les gouvernements. Quand on sait que 30 % des gaz à effet de serre générés mondialement sont attribuables à notre alimentation, le premier geste qu’on souhaite poser au quotidien est de limiter au maximum le gaspillage alimentaire. D’abord dans notre cuisine, en trouvant par exemple une deuxième vie à nos retailles de légumes (les chips d’épluchures de carottes, c’est bon pour vrai!) et carcasses de viande (par ici, les bons bouillons!) et en cuisinant de nouvelles recettes avec nos restes de viande.
Ensuite, en encourageant des entreprises et initiatives qui œuvrent à la revalorisation des aliments délaissés. Mentionnons au passage La Transformerie, qui produit notamment tartinades, marmelades et sauces à partir de fruits et légumes qui auraient autrement trouvé le chemin des poubelles.
Les fruits et légumes « moches » ou encore « imparfaits », soient ceux dont la forme, la grosseur ou la couleur diffèrent de la norme, sont un autre bel exemple de lutte au gaspillage alimentaire… et une façon de profiter de prix avantageux.
Faire la différence entre « meilleur avant » et « plus bon après »
On a parfois tendance à vouloir jeter tous les aliments dont la date « meilleur avant » est dépassée. Mais pas si vite! Il se pourrait qu’ils soient encore comestibles. C’est le cas notamment du yogourt, du fromage, de nombreux aliments secs (comme les graines, les noix, les céréales et les fruits séchés) ou en conserve ou encore des condiments. La farine et l’huile (incluant les vinaigrettes) peuvent toutefois développer un goût rance avec le temps, mais elles ne deviennent pas impropres à la consommation une fois leur date de péremption dépassée.
Évidemment, si on remarque un changement dans le goût ou l’apparence d’un aliment ou encore la présence de moisissures, mieux vaut lui dire adieu!
La date de péremption sert donc à garantir la fraîcheur, la texture, la saveur et la valeur nutritionnelle de l’aliment concerné. Elle ne garantit cependant en aucun cas sa salubrité.
Quant aux viandes, œufs et poissons frais et aux plats préparés, il est important de respecter les dates indiquées afin d’éviter les intoxications alimentaires. À noter que les viandes fraîches présentent souvent seulement la date où elles ont été emballées : il faut dans ce cas calculer soi-même leur durée de vie selon leur catégorie (volaille, porc, poisson, bœuf, etc.) et leur coupe (haché, en cubes, en filets, entier, etc.). On se réfère au besoin à ce tableau préparé par le gouvernement du Canada.
Changer nos mentalités pour aller plus loin
L’idée de consommer des « déchets » alimentaires en rebute plusieurs. En effet, une certaine barrière psychologique empêche beaucoup de gens de boire une bière faite à partir de pains gaspillés ou récupérés ou encore de croquer dans une barre tendre produite avec des déchets alimentaires séchés. Faisons malgré tout preuve d’ouverture et goûtons! Car oui, les goûts se développent, un peu comme celui pour les champignons ou les choux de Bruxelles, qu’on détestait tant quand on était enfant!
Que ce soit en encourageant des entreprises d’ici comme Malté ou en choisissant la tomate un peu imparfaite à l’épicerie, il existe 1001 façons de prendre part à l’économie circulaire et d’encourager ce principe qui fait du bien à notre planète.
Par Maude Carmel
Enfin, le mois de mars! Le soleil illumine votre salon de plus en plus tard en soirée, annonçant le retour des beaux jours… et mettant en lumière, par la même occasion, la poussière sur votre plancher!
C’est pas mêlant, c’est le temps du ménage du printemps!
Depuis des années, mon coup de cœur pour nettoyer la maison de fond en comble est Pure, une petite compagnie écoresponsable située dans le Bas-Saint-Laurent. Sa crème récurante à la fleur d’amandier a beau sentir le ciel, elle ne donne pas sa place pour récurer le bain et l’évier de cuisine! Son nettoyant multisurface est aussi un must chez nous, puisqu’il nettoie aussi bien nos portes d’armoires que la vitre sale de la porte-patio, là où le chien adore mettre ses pattes! Pour la lessive, j’ai un faible pour le détergent à la fleur d’amandier, qui est hyperconcentré. Un gros contenant que j’achète chez Rachelle Béry et j’en ai pour des mois!
Quant à la vaisselle, je ne jure que par le Cake vaisselle de Flonette, un produit zéro déchet indispensable qui dure très longtemps, aussi en vente chez Rachelle. Le concept du Cake vaisselle? C’est comme une grosse pastille que l’on met près de l’évier. On frotte une éponge dessus lorsqu’il est temps de faire la vaisselle, et on a assez de produit sur l’éponge pour laver une casserole au complet et 2 ou 3 assiettes! Vous allez voir, ça mousse!
Du côté des recettes maison et des ingrédients simples, il est évident que la matière principale que j’utilise lors d’un grand ménage, c’est le bicarbonate de soude. Particulièrement polyvalent, je l’aime pour son côté abrasif. Mélangé à de l’eau et à quelques gouttes d’huile essentielle (menthe, orange douce ou lavande), j’en fais une pâte que je peux utiliser pour me débarrasser des vieilles taches qui traînent depuis quelque temps sur le four ou pour nettoyer la douche en profondeur! Sans compter son superpouvoir décrassant pour les fonds de poêles et détachant pour les vêtements! Un must quand on a un bébé qui mange avec ses mains! En plus, c’est économique!
Il y a aussi le vinaigre blanc, excellent pour faire briller les miroirs. Simplement en mettre quelques gouttes sur un chiffon microfibre si vous souhaitez vous débarrasser des traces de doigts des enfants dans le miroir de la salle de bain!
Pour finir, un produit simple dont je ne saurais me passer est le percarbonate de soude. C’est un excellent produit détachant, qui me sert à garder mes couches lavables blanches et bien propres. Une demi-tasse dans chaque brassée avec un peu de savon Pure, et elles sont immaculées!
Bleu Lavande, c’est avant tout une belle histoire d’amour entre des artisans d’ici et une fleur bleue aux vertus exceptionnelles. Au cœur de cette aventure figure Nathalie Nasseri, la directrice générale et copropriétaire de Bleu Lavande.
Avec son équipe dévouée, cette entrepreneure passionnée n’a qu’une mission : faire profiter des bienfaits thérapeutiques de la lavande au moyen d’une gamme de produits uniques. Dans le processus de fabrication n’interfère ni parabène, ni produit pétrolier, ni fragrance artificielle. Bleu Lavande conçoit avec soin des produits à base d’ingrédients naturels respectueux des animaux et de l’environnement. Le gage de qualité? Son huile essentielle de lavande est certifiée ISO 3515, puisqu’elle est composée à 100 % de lavandula angustifolia (lavande fine).
Situé à Magog, dans les Cantons-de-l’Est, le fleuron québécois bénéficie d’un microclimat qui lui permet d’élaborer un produit d’une rare qualité. Huiles essentielles, savons à mains, crèmes hydratantes ou nettoyants pour la peau : les amateurs de lavande ont largement de quoi être comblés!
Nous vous invitons à découvrir la toute première lavanderaie en Amérique, dont le site niché dans un cadre bucolique attire chaque année des milliers de visiteurs.